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Cour (2) Technique de croquis (Les outils de tracé)

 Cour (2) Technique de croquis 



Les outils de tracé

 Les croquis d'observation se réalisent à l'aide de crayons plutôt tendres, dans la série des B (2B, 4B), qui donnent des tracés plus sensibles et donc plus expressifs. La série H correspond aux mines dures : elle est adaptée aux tracés plus précis, comme les dessins techniques. Entre le H et le B se trouvent des duretés moyennes, les HB et F.
Voici la série complète utilisée pour le croquis d'observation :
9 B 6 B 4B 2B B F HB H 2H 4H 6H 9H


La barre de graphite

 

La barre de graphite peut avoir une section carrée ou la forme d'un crayon. Comme le crayon graphite, elle est disponible dans toute une gamme de duretés qui permet des épaisseurs de trait différentes. On l'utilise pour des rendus aux aspects très marqués et aux valeurs intenses, sur un fond très clair par exemple.

Le stylo-feutre

 

La pointe du stylo-feutre permet d'obtenir un tracé à la fois très net et très souple. Plusieurs modèles proposent toute une série de pointes, de la plus fine à la plus large (0,1 à 1 mm). o
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Le stylo-bille

Le stylo-bille, instrument d'écriture basique, peut bien entendu être utilisé aussi comme un outil graphique. Un seul inconvénient : l'encre ne s'écoule que si le stylo est en position verticale - impossible donc de tenir son carnet devant soi comme s'il était posé sur un chevalet.
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Cour (1) Technique de croquis (1ere année architecture)

Technique de croquis

Tracer un croquis efficace et parlant nécessite une certaine concentration. Si les meilleures conditions ne sont pas réunies, mieux vaut abandonner et remettre la séance à plus tard : un croquis qui n'est pas réalisé dans le calme ne sera pas abouti, et guère utilisable.
La concentration permet de conserver le lien entre regard et geste. Le tracé doit être spontané, le recours à la gomme doit être évité.



La méthode de travail

La main doit tenir le crayon avec légèreté, en évitant les pressions trop fortes. Le crayon doit glisser sur le support.
Pour tracer les lignes les plus importantes, pour les courbes et les cercles, on ne pose pas la main sur la feuille : le poignet reste légèrement relevé, ce qui permet de mieux apprécier la direction du tracé.
Si le tracé est long - plus de 10 cm -, on pose d'abord le crayon sur la feuille pour amorcer la ligne, puis le regard se porte sur le point à atteindre en fin de course ; on peut enfin passer au tracé.

Gestion d’une Feuille

Avant de commencer un exercice, il faut considérer le format de sa feuille, penser à la composition du dessin et à l'axe de travail.

L'axe de travail

 

Quand on dessine en extérieur, on utilise forcément des formats réduits : les carnets de croquis de format A3, A4 ou A5 sont les mieux adaptés.
L'axe de travail privilégié sera l'horizontale, qui assure un meilleur équilibre au dessin et permet de mieux répartir les vues sur toute la surface de la feuille.
Pour un travail à l'intérieur, on peut utiliser des feuilles ou des carnets de croquis plus grands. C'est le type de composition envisagé qui détermine l'axe de travail, mais en général on privilégie là aussi l'axe horizontal : l'axe vertical est utilisé pour les compositions proches du traitement de l'affiche, qui structure les informations selon des critères bien spécifiques.


L'organisation de La feuille

On n'utilise pas la feuille entière pour un seul croquis mais on réalise plusieurs croquis de taille moyenne sur la même feuille : le premier est placé au centre, et les autres s'ordonnent tout autour. Cette contrainte permet de composer la feuille de façon plus harmonieuse.

Une autre organisation de la feuille peut être envisagée : elle peut être divisée en deux, voire quatre zones de travail. Ce principe peut être retenu pour les croquis préparatoires réalisés en petit format.
Une feuille de format raisin (voir ci-dessous) placée à l'horizontale est l'idéal pour un travail d'étude : elle permet d'avoir un panorama de l'évolution de son travail de recherche.
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Les techniques traditionnelles de restauration

 PRESEHTATION DE L'OUVRAGE




 L'objet  du  présent  ouvrage  est  d'offrir  un  panorama  très  large  des techniques  classiques  traditionnellement  employées  pour  assurer  la  conser- vation  matérielle  des  documents  graphiques,  en  y  traitant  néanmoins  des perfectionnements  des  techniques  et  des  matériaux  qui,  depuis  une  dizaine d'années,  sont  communément  mis  en  oeuvre  dans  les  laboratoires  les  plus avancés.

Par  souci  de méthode, avant  d'aborder  les  traitements  à  appliquer à un matériau donné, les auteurs formulent quelques considérations sur ses consti- tuants physiques ; en effet, il est clair que le choix du traitement  le plus avantageux dépend de la nature du support à sauvegarder, de la typologie  et de la gravité des causes et effets de la dégradation  et du comportement futur du document en question dans un environnement déterminé.

Parmi  tout  l'éventail  des  matériaux  à  conserver,  ils  traitent  des supports  cellulosiques  - papier,  papyrus  et  "amate"  (ou  "amatle") -  et des supports protéiniques - parchemin, peau tannée - ainsi que d'autres matériaux plus hétérogènes  qui, comme  ceux des  reliures  ou  des sceaux influent sur le caractère  des  documents  ou  sur  leur  état  fonctionnel.   C'est   néanmoins  le papier  - support  le plus  courant dans les bibliothèques  et archives du monde entier - qui joue le premier rôle en l'occurrence  et  c'est  pourquoi  le présent ouvrage  est  centré  prioritairement  sur  la problématique  de  sa  conservation, qu'il  faut  du  reste  connaître  pour  comprendre  ce  qui  est  dit  dans  les chapitres consacrés à d'autres matériaux.

Tenant compte de ce que l'ouvrage de C. Crespo  et V. Viïïas : "La préser- vation et la restauration des documents et ouvrages en papier" a été publié en 1986 dans  cette même  collection RAMP, on a évité de revenir sur des aspects déjà  traités  et  l'on  a  laissé  de  côté  ou  simplifié  certaines  données ; la présente  étude  suit  en  effet  les  mêmes  lignes  directrices  que  l'ouvrage précédent qu'elle développe.

Les auteurs  n'ont pu, faute  de  place, s'étendre sur la question des ressources  humaines et  financières  nécessaires  pour mener  à bien  les trai- tements conseillés. En  règle  générale, tous les  traitements  mentionnés  à l'exception de ceux  qui  exigent  le recours à des techniques spécialisées appliquées dans d'autres secteurs des travaux de laboratoire peuvent être réalisés par une seule personne, étant entendu que l'effectif à affecter à ces travaux et les moyens à mettre en oeuvre pour que l'atelier/laboratoire, quel qu'il soit, fonctionne au mieux seront dictés par le volume du travail et les délais à respecter.

1- LA CONSERVATION
2- LA PROTECTION
3- LA PRÉSERVATION

L’étude compète : http://unesdoc.unesco.org/images/0008/000827/082732fo.pdf


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Les cours d'architecture de Harvard *gratuit*

Les cours d'architecture de Harvard *gratuit*


Si vous êtes passionné•e d'architecture mais que vous avez encore deux, trois trucs à apprendre et pas assez de thunes pour vous inscrire dans une école, ce cours est pour vous. La prestigieuse université de Harvard — et plus précisément son département Graduate School of Design — met gracieusement à disposition ses cours d'architecture. Dix modules vous initieront aux bases de l'architecture : l'histoire de la pratique et le contexte actuel. Dans un second temps, vous potasserez sur les technologies misent en œuvre pour fabriquer une structure qui tienne debout. Disponibles uniquement en anglais, ils correspondent à une dizaine de semaines de cours. Une semaine par module. À la différence du cours de photographie, pas de diplôme à la fin. Vous pourrez par contre acheter votre certificat pour seulement 99$. Il ne vous restera plus qu'à convaincre un studio d'archi que vos dix semaines derrière un ordi ont la même valeur que cinq ans d'école. Mais ça, ça ne s'apprend pas en ligne.


 

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Construction en bois CLT (cross-laminated timber)

Houtcreaties cvba : Construction en bois innovante à l’aide de panneaux de bois lamellé-croisé (cross-laminated timber, CLT), communément appelés “panneaux massifs”.
Pour la construction en bois, Houtcreaties cvba et son équipe enthousiaste, bénéficie d’une vision claire sur les projets durables et efficace énergétiquement. Ayant une longue expérience en ossature bois, en charpente et en isolation avec des produits bio-écologiques, la construction en bois massif avec des panneaux de bois lamellé-croisé ou CLT (cross laminated timber) a été choisie ces dernières années.

Respecter la durabilité, l’efficacité énergétique et le budget

Composés de panneaux multi-couche de bois collé, les panneaux CLT ont un historique qui remonte aux années 1990, en Autriche et en Allemagne. En raison de leur structure spécifique, ce type de construction en bois massif offre plusieurs avantages importants par rapport à l’acier ou le béton. Les panneaux massifs offrent, de par leurs caractéristiques particulières de résistance, une liberté unique dans la conception architecturale de votre projet de construction. Nonobstant le fait qu’une quantité relativement importante de bois soit nécessaire pour la construction en bois massif, il reste, par rapport à l’acier et au béton, le matériau de construction durable ayant le meilleur score sur l’environnement. En outre, le bois provenant de forêts gérées durablement (PEFC ou FSC) est le seul matériau de construction à effet climatique neutre, naturellement renouvelable et à l’efficacité énergétique reconnue.
Grâce à leur résistance mécanique et leur structure homogène, les robustes panneaux d’appui sont adaptés pour tous les éléments structurels d’un bâtiment de construction: murs, planchers, plafonds, toitures, murs, escaliers, ... 
CLT rend possibles de grandes travées  et, du fait de sa polyvalence de cette méthode de construction, permet son application pour des bâtiments résidentiels, des constructions non résidentielles à plusieurs étages ou des concepts de bâtiments modulaires.
Les installations techniques et toutes les ouvertures de portes et fenêtres sont préparées en usine par des machines de transformation du bois commandées numériquement, avec une précision de l’ordre du millimètre! Les panneaux sur mesure préfabriqués sont livrés prêt à l’emploi sur place. Le montage rapide et précis procure un gain de temps considérable dans le processus de construction. Les travaux de menuiserie pour portes et fenêtres peuvent déjà être commandés à l’avance et être immédiatement placé après le montage de la structure. En effet, il n’y a pas de temps de séchage comme le demande un béton traditionnel et la construction en maçonnerie. L’enveloppe du bâtiment de CLT peut être étanche à l’air d’une manière très simple et rapide. Une maison unifamiliale peut être ainsi terminée dans le temps record de 3 à 4 mois.
La couche d’isolation entourant la structure CLT peut être apprêtée, au choix, par de la brique, un revêtement de bois ou de stuc. L’intérieur peut être adapté à vos goûts personnels en appliquant une finition de panneaux de fibres de gypse ou en laissant les panneaux CLT visibles. Le choix de la visibilité de la qualité des panneaux peut être déterminé par le client lui-même.
Choisir la construction CLT de Houtcreaties cvba, c’est choisir un bâtiment innovant et contemporain privilégieant le développement  durable.

Source:  http://www.lejournaldelarchitecte.be/produits/materiaux/2089-construction-en-bois-clt-cross-laminated-timber




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